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Qui nous vante les bienfaits de la céramique. Issue de la terre et riche en vertus due à sa forte concentration minérale, nous n’arrêtons pas de voir des dérivations de la céramique : pour le lave-linge, le lave-vaisselle,…

Nous nous y sommes intéressés afin de savoir s’il s’agissait d’une nouvelle mode de plus ou bien si la céramique était réellement digne de sa notoriété.

Nous avons alors décidé de nous mettre à l’essai avec la marque IJI.Eco. Nous vous donnerons notre avis en fin d’article…

Penchons-nous alors sur la question

 « Qu’est-ce qui pourrait nous amener à changer nos habitudes et adopter ces nouveaux produits en céramiques ? »

Premièrement, il faut savoir que les produits chimiques que nous utilisons sont remplis de défauts. De la production à l’utilisation en passant par l’emballage. Il faut savoir que chaque année rien qu’en France ce sont des dizaines de milliards de litres d’eau pollués que nous relâchons dans la nature uniquement avec nos produits ménagers. Trouver une solution s’impose donc.

Vient alors l’idée de la céramique.

D’après IJI.eco au contact de l’eau chaude la céramique permet de libérer des propriétés de lavage sans aucun rejet de substance ni chimique, ni néfaste pour la santé ou pour l’environnement

Tant de belles paroles qui nous feraient croire à un miracle. Et bien non, c’est simplement scientifique.

Après plus de 3 mois de tests et de mise à l’épreuve les résultats sont concluants. La vaisselle est propre. Nous avons mis à l’épreuve ce IJI Bag et toutes ses belles promesses. Et la réponse est « oui », toutes les promesses sont tenues. Nul doute que la marque présente de belles intentions.

Un petit bonus pour les actions réalisées par la marque comme financer la dépollution des plages partout dans le monde.

Les activités manuelles, tout comme la lecture, sont de très bons compléments à l’éducation scolaire traditionnelle. Le jeu fait parti du développement de l’enfant. Il permet à nos chères têtes blondes de s’amuser, mais aussi de faire des découvertes, de comprendre le monde qui les entoure, et de se développer intellectuellement et psychologiquement. 

Les activités manuelles pour comprendre son environnement 

Abonner ses enfants à des activités manuelles, ou encore en offrir en cadeau d’anniversaire est devenu monnaie courante. Les enfants ont soif de découvertes et de divertissements. Ils se posent énormément de questions sur leur environnement, sur le pourquoi et le comment des choses. Les activités manuelles permettent de répondre à leurs interrogations, et de les faire devenir acteurs de leur problématique. 

Tout en s’amusant, ils vont alors réussir à comprendre ce qui les interpellait, et mieux, ils vont en retirer une certaine fierté. Ils vont aussi, grâce aux activités manuelles, améliorer leur habileté, leur capacité de concentration, ainsi que leur esprit d’analyse et leur inventivité. Pour combler les besoins de créativité et de découverte des enfants, tout un éventail de choix et d’idées est disponible dans les magasins de jouets, sur internet, ou en abonnement.

La lecture comme source d’apprentissage infinie

La lecture, bien qu’en perte de vitesse, n’a pas dit son dernier mot. L’offre évolue avec son temps, et en plus des livres ou des magazines, elle s’invite désormais sur les tablettes de nos enfants. Elle se diversifie pour proposer des contenus adaptés à l’âge des lecteurs, à leurs goûts, et à leurs besoins. Ainsi, dès le plus jeune âge, l’enfant peut s’initier au plaisir de plonger dans un univers, dans une histoire qui le fait voyager, et qui lui procure des sensations inédites. Il diversifie son vocabulaire, aiguise son imagination, et apprend la langue sans même s’en rendre compte. 

Les jeunes lecteurs et les ados ne sont pas en reste. Grâce à la lecture, ils s’ouvrent à des mondes encore plus vastes et à de nouveaux styles. Ils se cultivent et continuent d’apprendre de leurs lectures. L’offre littéraire s’adapte à l’âge des enfants. Ils pourront donc trouver dans les livres et/ou magazines, des réponses simples et adaptées aux problématiques et aux questions qu’ils se posent au cours de leur développement. Ainsi, des thèmes courants, comme des thèmes moins habituels, sont disponibles en abonnement, en offre individuelle, ou dans les bibliothèques.

À l’occasion de l’élection présidentielle dont le scrutin se déroulera le 7 octobre 2018, un point sur la vitalité démocratique au Cameroun peut se faire. Depuis l’introduction d’un système multipartite, les élections sont devenues le thermomètre de la démocratie, et le pays fait figure de modèle africain. La campagne permet aux différents candidats, au nombre de neuf, de s’exprimer librement.

 

En 1990, le président Biya, après 8 années à la tête du pays, ouvre le pays aux autres partis politique. Jusqu’à présent, seul le RDPC (Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais) pouvait présenter des candidats.

Dès la libéralisation du système politique, de nombreux mouvements politiques sont apparus. Le pays a compté jusqu’à 200 partis à la suite de cette réforme.

Certains candidats présents cette année, tel Amadou Ndam Njoya, furent les témoins de cette période et avait profité de cet évènement pour se lancer en politique. Au fur et à mesure des années, le pouvoir a de mieux en mieux accepté la présence de ces voix contradictoires dans le paysage politique camerounais.

 

Dans un contexte difficile dans les régions anglophones, la démocratie camerounaise fait preuve d’une vitalité et d’une solidité qui surprend les observateurs extérieurs.

Cependant une connaissance du pays permet de mieux comprendre la manière dont le pays gère une démocratie prenant en compte les spécificités africaines.

 

Les neufs candidats présents lors de ce scrutin bénéficient ainsi de temps de paroles sur les médias publics (radios et télévisions) déterminés par le ministère de la communication dirigé par Issa Tchimora.

Au total, les candidats disposent, depuis le 24 septembre dernier, date du début de la campagne officielle, de 20 minutes par jour, réparties ainsi : 13 minutes et 20 secondes à la radio, et 6 minutes et 40 secondes à la télévision.

 

Les différents candidats ciblent bien évidemment le président sortant, objet de toutes les attaques. Signe indéniable de la démocratie camerounaise,  les propos sont tenus librement sur les antennes des différents médias. En dehors même des périodes électorales, la liberté de parole des opposants politiques est garantie. Le candidat Serge Espoir Matomba a ainsi pu réclamer par deux fois la démission du président Biya sans être particulièrement inquiété.

 

Le Cameroun a dans ce contexte accueilli les observateurs envoyés par l’UA (Union Africaine) en charge de s’assurer du bon déroulement des élections.

 

Néanmoins, les Camerounais semblent en passe de réélire Paul Biya pour un septième mandat. Les raisons en sont simple : les électeurs estiment qu’il est le plus expérimenté afin de permettre au pays de surmonter les difficultés du pays, et le faire entrer de plain-pieds dans le concert des nations modernes.

Une vingtaine de partis d’opposition, incluant même d’anciens candidats opposés à Biya lors des scrutins précédents, ne s’y sont pas trompés en apportant leur soutien au président sortant.